La pollution de l’air intérieur est souvent négligée, malgré son importance. Pourtant, il existe des moyens d’améliorer la qualité de l’air chez soi. Pendant la pandémie de Covid-19, l’aération des espaces intérieurs est devenue cruciale, tout comme l’utilisation de détecteurs de CO2 et de purificateurs d’air, et que leur efficacité mérite toute notre attention.
Au fil des années, la recherche scientifique a progressé dans la compréhension des sources de pollution intérieure, qui s’ajoutent à celles de la pollution atmosphérique extérieure. Pourtant, la qualité de l’air à l’intérieur reste souvent un sujet d’expertise, peu discuté par le grand public. Et chacun a la possibilité d’agir chez soi pour respirer un air plus sain.
Un test chez l’habitant
Une étude récente a exploré la qualité de l’air intérieur des logements du point de vue des habitants. Douze familles ont ouvert leur porte aux chercheurs pour partager leurs expériences et recevoir des conseils personnalisés.
Nous avons constaté un déni ordinaire chez les Français concernant la pollution intérieure, souvent négligée au profit de la pollution atmosphérique médiatisée. Les pratiques d’aération sont bien intégrées, mais l’entretien des systèmes de ventilation laisse souvent à désirer.
La discipline des habitudes
Changer ses habitudes de consommation est crucial pour réduire les émissions de polluants. Les rénovations sont importantes mais trop souvent perçues comme laborieuses. Alors, l’efficacité d’une solution technologique telle qu’un purificateur d’air prend ton son sens.
Il est temps d’agir collectivement. Les politiques publiques devraient être plus ambitieuses et les professionnels mieux outillés pour accompagner les citoyens vers un air intérieur plus sain.
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